Le quatrième de couverture : Un go-fast pris en flag qui transporte bien pire que de la drogue... Deux ados qui tirent sur les passagers d'un TGV lancé à pleine vitesse... Des gens ordinaires découverts morts de terreur. Le Diable mène le bal, le monde est devenu fou. Lieutenant à la Section de Recherche de Paris, Ludivine Vancker comprend bientôt qu'un fil sanglant relie ces faits divers. Rien ne pourra l'empêcher de remonter la piste à sa source. Aux racines de la peur. Le Mal peut-il contaminer ceux qui le traquent ?
Celui-là, je l'attendais avec impatience, grande fan de Maxime Chattam que je suis. Je l'ai commencé mercredi soir et je l'ai achevé hier soir, depuis la Conjuration primitive, je retrouve l'émotion et la noirceur de La trilogie du mal et j'adore. Pourtant, je l'avoue, j'ai eu un doute avec les fréquentes références au Diable, par peur du surnaturel dont je ne suis pas une adepte je dois le reconnaitre. Mais sans spoiler la fin de l'ouvrage, ce n'est nullement le cas et c'est un régal de lecture : d'une noirceur épouvantable, les pages se tournent et il est impossible de s'arrêter. La fin, je l'ai vu venir dans les dernières pages, parce que le coupable désigné semblait un peu trop idéal (il ne pouvait en outre selon moi co-exister 2 Mikelis....) et que le Diable use de subterfuge à sa guise.... L'épilogue est un délice, une mise en bouche pour la suite, je salive déjà....!