Quand j'ai entendu parler de ce livre, j'ai décidé d'être un mouton et de le lire. Encore plus envie quand j'ai lu que certains ordonnaient de ne surtout pas lire ce livre (finalement je suis une petite effrontée ?) (à certaines heures uniquement, ne nous emballons pas !).
L'histoire, c'est celle d'Anastasia Steele, étudiante en littérature, qui interviewe le richissime jeune chef d’entreprise Christian Grey, qu'elle trouve très séduisant mais profondément intimidant. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l’oublier – jusqu’à ce qu’il débarque dans le magasin où elle travaille et l’invite à un rendez-vous en tête-à-tête. Naïve et innocente, Ana ne se reconnaît pas dans son désir pour cet homme. Quand il la prévient de garder ses distances, cela ne fait que raviver son trouble. Grey est tourmenté par des démons intérieurs, et consumé par le besoin de tout contrôler. Lorsqu’ils entament une liaison passionnée, Ana découvre ses propres désirs, ainsi que les secrets obscurs que Grey tient à dissimuler aux regards indiscrets…
J'ai donc commencé ma lecture dimanche dernier. Je n'ai pas accroché de suite, un peu trop mièvre à mon goût (non et puis bon, le mythe de monsieur Grey aux yeux gris beau comme un Dieu grec, c'est éculé....) (je HAIS le style Harlequin). J'ai repris ma lecture mardi soir, dans le train, me lamentant de ne pas lire de scène avec du cul, de la baise et du sado-maso (c'est un peu la finalité affichée de ce bouquin, quand même) jusqu'à ce que Christian déflore cette chère Anastasia (oui la petite était vierge jusqu'à sa rencontre avec le Mal (Mâle) et ne possédait ni ordinateur ni téléphone portable) (non mais quelle horreur, vivre sans ordinateur ni téléphone....) (bref). Là, dans le train, je me suis (un peu) enflammée. Il faisait chaud, soudain. Excepté le fait que vraiment, je ne supporte pas quand Christian appelle sa dulcinée "Bébé", j'ai dévoré ce bouquin, mièvre, sucré, moelleux, avec des petites fessées par-ci et par-là clap-clap-clap et.... Et je suis HORRIBLEMENT frustrée de la fin, je vais avoir du mal à patienter pour savoir la suite (mais pourquoi oui POURQUOI Christian ne supporte-t'il aucun contact sur son torse bordelllll ???). Bref, je n'ai pas honte de l'écrire : j'ai adoré cette lecture, la plus basique expression de mon petit côté cucul-la-pralinette, sûrement. Christian c'est quand tu veux, même pas peur.